Médaille Miraculeuse, métal argenté - 32 mm

Description Médaille Miraculeuse, métal argenté - 32 mm

Vous trouverez des colliers dans l'onglet "Produits associés" ou dans la catégorie "Colliers" ; pour cette médaille, les modèles qui conviennent sont :
colliers en maille gourmette :
collier à maille gourmette (métal argenté), 50 cm
collier à maille gourmette (métal argenté), 60 cm
Colliers en maille forçat :
Chaîne en métal argenté à maille forçat 50 cm
Chaîne en métal argenté à maille forçat 60 cm
Collier en acier :
collier à maille gourmette en acier, 50 cm

La Médaille Miraculeuse a un revers dont le symbolisme n'est que l'explicitation de l'avers de la médaille.
Cet avers nous montre Notre-Dame comme la Médiatrice de toutes grâces, la Médiatrice toute puissante chargée de secourir les hommes. Le revers de la Médaille Miraculeuse nous laisse entendre les raisons qui justifient ce rôle ineffable, afin d'affermir notre foi et notre confiance.
Ce revers est composé de trois éléments :
- le monogramme de Marie surmonté d'une croix ;
- les deux coeurs de Jésus et de Marie ;
- douze étoiles.
La croix s'appuie sur Marie ; elle est implantée en elle comme une glorieuse greffe. Elle sort d'elle en quelque sorte : Marie a donné au monde le Rédempteur et elle-même est corédemptrice. Le mérite de Marie s'est comme ajouté au mérite du Fils. Le mérite infini du Sauveur s'est comme doublé du mérite fini de sa mère, à cause de l'intention commune qui les soudait l'un à l'autre, à cause de l'immense désir qu'ils avaient l'un et l'autre de la gloire du Père et notre salut.
Les deux coeurs nous aident à pénétrer plus intimement dans le mystère de la Rédemption.
Les deux coeurs côte à côte signifient une communauté de souffrances. A cause de l'amour quasi infini qu'elle ressentait pour son divin Fils, toutes les souffrances de la Passion se répercutèrent en l'âme de Marie. Par compassion son âme endura l'agonie, ses mains et ses pieds furent cloués à la croix, son coeur fut transpercé d'un glaive. Deux autels ont été comme dressés au Calvaire l'un près de l'autre : l'un est la Croix du Sauveur où la Victime est immolée, l'autre est le coeur de Marie où le sacrifice de la victime a sa racine et son prolongement.
Les douze étoiles font comme une couronne au monogramme de Marie, c'est la couronne de la Femme de l'Apocalypse ; par conséquent Marie est bien la femme victorieuse du démon de feu contre lequel elle lutte incessamment. C'est là exprimer toute sa puissance, toute l'efficacité de cette Médaille Miraculeuse.
Les douze étoiles symbolisent aussi les apôtres. Marie corédemptrice nous apparaît ainsi couronnée en quelque sorte par le sacerdoce chrétien et par l'Eglise fondée sur les Douze. A un titre unique et plus éminent, Marie est associée à l'acte rédempteur, qui est tout l'essentiel de la fonction sacerdotale du Christ. Par sa corédemption, Marie est avec Jésus au centre de l'Eglise ; elle est la reine du sacerdoce chrétien, comme elle l'est des fidèles, comme elle l'est de l'univers entier.