• Monsieur Martin (1823-1894) Père de Ste Thérèse de Lisieux
Monsieur Martin (1823-1894) Père de Ste Thérèse de Lisieux

Diptyque Saint Louis Martin avec la citation "Je vois encore Papa"

  • Référence: D108B

46,00 € TTC

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Panneau gauche : Saint Louis Martin (1823-1894) Père de Ste Thérèse de Lisieux - Panneau droit : une citation de Sainte Thérèse de Lisieux "Je vois encore Papa" (Ref D108B)

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Description Diptyque Saint Louis Martin avec la citation "Je vois encore Papa"

Le panneau gauche de ce diptyque représente saint louis Martin, père de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.
Louis Martin est né le 22 août 1823 à Bordeaux. Son père était capitaine de l'armée française et avait une foi profonde et sa mère était une femme de prière. Ainsi Louis a bénéficié d'une éducation profondément catholique. Rapidement Louis se trouve fils unique car ses quatre frères et soeurs meurent en bas âge.
Dans un premier temps il pense être appelé à la vie religieuse et demande son admission au monastère du Grand-Saint-Bernard en Suisse où vivent les chanoines de Saint-Augustin. Mais n'ayant pas été au lycée, l'entrée lui est refusée jusqu'à ce qu'il apprenne le latin.
Il se remet alors à ses études d'horloger et mène une vie quasi monacale. Mais sa mère Fanny Martin cherche à tout prix à le marier et finit par trouver la perle rare : Marie-Adélie Guérin. Mme Martin vante à son fils la haute piété de cette jeune fille de 26 ans.
Les deux jeunes se rencontrent en avril 1858 ; très vite ils s'aiment et comprennent qu'ils sont faits l'un pour l'autre et que Dieu les appelle à le servir dans le mariage. Le 13 juillet a lieu le mariage.
Ce fut vraiment un mariage d'amour, mais les épreuves ne manquèrent car il fallait que Monsieur Martin, parce qu'il était juste, fut éprouvé :
- il perd 4 enfants en bas âge,
- son épouse décède en 1878 d'un cancer ; 'épreuve est lourde pour monsieur Martin ;
- ses filles le quittent une à une pour entrer au Carmel,
- en 1888, c'est le départ de sa petite reine pour le Carmel ; si Monsieur Martin rend grâce à Dieu qui a appelé toutes ses filles à la vie parfaite au Carmel, cela n'en demeure pas moins une souffrance affective ;
- à partir de 1889 commence son chemin de croix par une maladie qui lui fait perdre ses facultés mentales ; elle oblige son beau-frère à l'enfermer dans un asile d'aliéné pendant trois ans.
Il en sort en 1892, car il est devenu impotent et il n'y a plus le risque de fugue. Sa fille Céline s'occupe de lui jusqu'à sa mort qui a lieu le dimanche 29 juillet 1894. Sur son image mortuaire, ses filles imprimèrent cette parole de Jésus : « Ne fallait-il pas que le Christ souffrît, et que, par là, il entrât dans sa gloire ? »

La citation du panneau droit est tirée d'une lettre de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus écrite le 30 Décembre 1889. Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus allait avoir 16 ans le 2 janvier suivant et elle était encore postulante. Son père avait subi les premières attaques de sa maladie, mais il s'était remis et vivait encore chez lui. Cette lettre est adressée à son oncle et à sa tante Guérin à qui elle souhaite une bonne année. Evidemment elle parle de son père et du calice d'amertume auquel Jésus l'a appelé à boire. Voici cette lettre dans ces parties essentielles :

« Votre Benjamin vient à son tour vous souhaiter une bonne année !... Comme chaque jour a sa dernière heure, chaque année voit aussi arriver son dernier soir, et c'est au soir de cette année que je me sens portée à jeter un regard sur le passé et sur l'avenir ; en considérant le temps qui vient de s'écouler, je me sens portée à remercier le bon Dieu, car si sa main nous a présenté un calice d'amertume, son coeur divin a su nous soutenir dans l'épreuve et il nous a donné la force nécessaire pour boire son calice jusqu'à la lie... Pour l'année qui va s'ouvrir que nous réserve-t-il ?... Il ne m'est pas donné de pénétrer ce mystère, mais je supplie le bon Dieu de récompenser au centuple mes chers parents, de toutes les bontés si touchantes qu'ils ont pour nous !... Le premier jour de l'an est pour moi un monde de souvenirs... Je vois encore Papa nous comblant de ses caresses... Il était si bon !... Mais pourquoi rappeler ces souvenirs ? Ce Père chéri a reçu la récompense de ses vertus, Dieu lui a envoyé une épreuve digne de lui. »

Citation :

Je vois encore papa
nous comblant de ses caresses...
Il était si bon !

Sr Thérèse de l'Enfant Jésus, et de la Sainte Face (Lt 100 , 27)

Fiche technique - Diptyque Saint Louis Martin avec la citation "Je vois encore Papa"

  • Auteur

    Céline

  • Référence

    D108B

  • Nom du produit

    Diptyque Saint Louis Martin avec la citation "Je vois encore Papa"

  • Dimension

    ouvert : 22 cm x 15 cm fermé : 10,5 cm x 15 cm

  • Fabricant

    Traditions Monastiques (FRANCE)

  • Panneau droit

    une citation de Sainte Thérèse de Lisieux "Je vois encore Papa"

  • Panneau gauche

    Saint Louis Martin (1823-1894) Père de Ste Thérèse de Lisieux

  • Matériau

    bois de merisier

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