Filtrer par

Catégories

Prix

  • 1,00 € - 455,00 €

Thème

Matériau

Dimension

  • 1,00 € - 455,00 €

Par catégorie

Retrouvez également ces produits par familles

Il y a 42 produits.

Filtres actifs

Affichage 1-42 de 42 article(s)

Médaille religieuse et bijou

On peut se demander si considérer une médaille religieuse comme un bijou ne serait-ce pas la profaner. A priori non, on peut très bien parler de bijoux religieux dans la mesure où l'aspect bijou ne l'emporte pas sur l'aspect religieux. Saint Pie X voulait de la beauté dans la liturgie, car elle favorise la dévotion et aide les fidèles à mieux prier. Ainsi des bijoux en argent ou en or.

Une médaille religieuse comme cadeau

A moins de se perdre une médaille religieuse se garde toute la vie. Elle est donc un cadeau idéal comme signe d'une amitié que l'on veut pour la vie. Dans la recherche du cadeau unique, une médaille religieuse offerte par le parrain ou la marraine pour le baptême ou la première communion, est l'idée-cadeau qui convient bien, car pour de tels événements qui doit avoir des répercutions sur toute la vie, il faut faire un cadeau qui ne perd pas de sa valeur avec le temps.

A propos de la bénédiction

Pour vous aider à faire un bon usage de la medaille religieuse, nous vous donnons quelques explications sur le sens et l'efficacité de la bénédiction appliquée a une medaille religieuse ou à tout autre article religieux.
La bénédiction est un rite accompli par les ministres sacrés au nom et par l'autorité de l'Eglise, soit pour consacrer des personnes ou des objets au service de Dieu, soit pour procurer aux fidèles de bons effets spirituels ou temporels. Dieu seul peut produire réellement dans ses créatures les effets propres de sa bénédiction. Ce pouvoir a été communiqué par Dieu aux créatures qui le représentent. Ces représentants procèdent par invocation de son nom et par supplication. Au cours des âges les types de bénédictions se sont multipliés. En les instituant, l'Eglise a usé, pour le bien des fidèles, du pouvoir que Jésus-Christ lui avait communiqué. Ce pouvoir de bénédiction, l'Eglise l'a conféré réellement aux prêtres.
Les bénédictions se partagent en deux classes :
- les bénédictions consécratoires ou constitutives : celles-ci font que les personnes, les objets ou les lieux bénits ont une sorte de caractère sacré, sont enlevés aux usages de la vie commune et destinés au culte divin. Les objets bénits ne doivent plus servir à des usages profanes, même honnêtes, et il y aurait un sacrilège à les détourner de leur destination sainte et à les traiter indignement, surtout avec mépris.
- les bénédictions simples ou invocatoires : sont des invocations par lesquelles les ministres sacrés demandent à Dieu que dans sa bienveillance il accorde aux personnes et aux objets bénits quelque avantage spirituel ou temporel, sans que ces personnes ou ces choses deviennent saintes ou sacrées et changent d'état au point de vue religieux. Les bénédictions pour les médailles religieuses (médaille de saint benoît, médaille miraculeuse, médaille du scapulaire) relèvent de cette classe.
Par leur consécration ou bénédiction, les objets n'ont aucune nouvelle qualité inhérente ; ils ont avec Dieu une relation réelle en vertu de laquelle Dieu est amené à produire des effets spirituels en ceux qui se servent d'eux. Il y a donc dans les objets bénits une vertu permanente. Mais comme elle résulte des prières de l'Eglise et de la consécration de l'objet, elle ne produit pas physiquement son effet. Les bénédictions sont donc seulement des causes occasionnelles. Elles ne relèvent donc pas de la magie.

La bénédiction n'a pas un effet efficace comme les sacrements, mais elle est plus qu'une simple prière ; elle est une impétration faite au nom de l'Eglise qui s'adresse à Dieu avec confiance. La demande est en quelque sorte impérative, parce que l'Eglise a reçu de Dieu le droit d'intercéder pour les fidèles et de leur appliquer par mode d'intercession les moyens de salut. Dieu, à cause de la prière de l'église, accordera au fidèle pour qui elle intercède la grâce demandée, si d'ailleurs il est capable et digne de la recevoir. Toutefois, l'effet n'est pas certain et n'est pas produit infailliblement, parce que Dieu n'a pas promis expressément d'exaucer toujours la prière de son Eglise.